Sigillographie – Les sceaux byzantins : quand le plomb vaut de l’or
Les monnaies, dit-on, racontent l’économie, la propagande, le pouvoir impérial. Mais les sceaux, eux, racontent la vie de ceux qui n’ont pas laissé de récit. Ils parlent pour les gouverneurs oubliés de Pisidie, pour les évêques d’évêchés disparus, pour les agents du fisc, les notaires, les protonotaires, les abbés, les moineaux de l’administration byzantine. Pour les femmes aussi, parfois.
