Temps de lecture : 15 mn
PRATIQUER > LES MONNAIES ROMAINES DE A à Z > LES MODULES
Il y a des esprits chagrins qui ricanent quand on leur dit qu’il existe un art monétaire. On essaie parfois de les convaincre en leur montrant de jolies monnaies d’argent. Mais on regrette parfois qu’un denier ou un antoninien soit si petit. On essaie de les ébahir avec des scènes plus ambitieuses telles qu’on en trouve sur les grands modules de sesterces ou en argent avec des cistophores.
Mais pour leur clouer le bec, on est souvent obligé de sortir l’artillerie lourde : les médaillons ! Là, tout le monde est calmé et convaincu.
Mais c’est quoi les médaillons romains ? D’où ça sort ? A quoi ça sert ?
Sommaire
- Médaillon ou multiple d’or et d’argent ?
- Médaillon ou monnaie de bronze ?
- Médaillon et propagande impériale
- Médaillon et élites
- Du médaillon antique à la la médaille
- Conclusion
- Bibliographie
- Origine des images
Médaillon ou multiple d’or et d’argent ?
Il existe des objets monétiformes de grandes dimensions en or ou en argent qu’on a pris l’habitude d’appeler médaillons. Le caractère exceptionnel de leur masse, de leur iconographie, et leur rareté les a fait considérer comme extérieurs au système monétaire romain. Néanmoins, ils furent frappés par les ateliers monétaires impériaux et relèvent donc de la numismatique.
Le poids de tels objets correspond à des multiples de la monnaie de base :
- avec 53,65g d’or, le « médaillon » de Dioclétien (au centre) pèse 10 aurei,
- Carus et Carinus (à gauche) ne pèsent « que » 27.48g, soit 5 aurei,
- De la même façon, le « médaillon » d’argent de Constance II (à droite) pesant 13g, correspond à 4 argentei.
Ces équivalences permettaient d’utiliser ces grands modules d’or et d’argent, de frappe exceptionnelle, comme monnaie, en s’appuyant sur leur poids en métal précieux. Évidemment, beaucoup ont préféré les garder telles quelles, intactes, en raison de leur valeur symbolique et artistique (c’est « rare » et montre qu’on a approché au plus près du pouvoir).
On connait néanmoins des exemples de ces grands modules découpés pour obtenir le poids de divisionnaires, comme ce fragment de médaillon d’argent de Gordien III qui pèse 15.75g, soit 5 deniers.
Ce type est aussi connu, entier, pesant 22.9g, soit 7 deniers, et 29,83g, soit près de 10 deniers.
On a découvert des trésors où se mêlaient des monnaies ordinaires et de ces modules extraordinaires, comme dans le très célèbre trésor de Beaurains, près d’Arras, contenant, pour les monnaies qui n’ont pas disparu, 1 aureus, 81 deniers et 1 antoninien du Haut-Empire, des aurei de l’époque tétrarchique (env. 700) et de ces objets extraordinaires (30 à 35 multiples d’or, de 5, 7.5, 8 ou 10 aurei).
Ils étaient manifestement des gratifications hors-norme pour des militaires au plus proche du pouvoir.
Thésaurisés comme des monnaies car dotés d’un très fort pouvoir libératoire, ils ont néanmoins été conservés par leur propriétaire sur plusieurs dizaines d’années au service des empereurs, de Dioclétien à Constantin, avant son enfouissement vers 315. Il en va plus ou moins de même pour le trésor de Lava qui réunissait monnaies simples et modules d’exception.
Aussi pour ces artefacts qui ont longtemps été appelés médailles ou médaillons (Froehner en 1878, Gnecchi en 1912, Toynbee en 1944) on préfère aujourd’hui le terme de multiples, car ils avaient cours légal même s’ils n’ont pas beaucoup circulé. (Mittag, 2010 et suivantes).
Pour le Haut-Empire, Mittag ne connaît que 3 exemplaires de multiples de quatre aurei pour Auguste et 4 exemplaires de multiples de 5 deniers d’argent pour Domitien. Ces objets restent excessivement rares. Il faut attendre le IIIè siècle pour voir se développer largement de tels artefacts d’or et d’argent.
Pour l’or, il y aussi le cas des « médaillons » comme ceux d’Aboukir et de Tarse. Ces objets, s’ils s’approchent des multiples d’or par leur forme, leurs dimensions (une centaine de grammes pour 60-70mm), leur technique (frappés avec des coins gravés), s’en distinguent par leur iconographie.
On a longtemps cru qu’ils ont été frappés par la koinè des Macédoniens comme Nikètérions, c’est-à-dire des récompenses pour les vainqueurs de jeux qui étaient très réputés en Macédoine au début du IIIè siècle. Si c’était le cas, ils n’auraient pas été frappés par le pouvoir central impérial, et leur iconographie rappelle beaucoup le monnayage provincial local.
Des recherches récentes proposent néanmoins de les rattacher à un ou plusieurs empereurs fascinés par Alexandre le Grand sans doute sous la dynastie Sévère (ou sous Gordien III) qui les auraient fait frapper pour d’exceptionnels donativa en route vers des campagnes contre les Parthes / Perses en s’inspirant des monnaies provinciales de Macédoine et en cherchant à souligner le parallèle entre Alexandre et l’empereur (Estiot, RN, 2021).
Récompense agonistique ou gratification militaire, la qualité artistique de ces objets, portée très haut, a amené à les thésauriser comme des monnaies. On peut néanmoins se demander s’il existe plusieurs exemplaires tirés de mêmes coins.
Médaillon ou monnaie de bronze ?
On peut appliquer le même raisonnement aux objets traditionnellement appelés médaillons de bronze : sont-ils des monnaies ou sortent-ils du système monétaire ?
On a tendance à appliquer le terme de médaillon à tout objet monétiforme de bronze sur lequel ne figure pas la mention SC (Senatus Consulto) comme on la lit d’ordinaire sur les monnaies impériales.
Mais les modules sont parfois très proches d’un as, d’un dupondius ou d’un sesterce, tout comme les types utilisés. Parfois, un même coin d’avers a même servi à frapper des monnaies et des médaillons. Ces derniers portent parfois les traces d’une circulation importante.
On peut donc se demander si l’absence de SC ne peut pas être un oubli ou un détail administratif (émission exceptionnelle pour laquelle l’accord du sénat n’a pas été demandé ? comme les émissions de deniers marqués SC sous la République, mais en inversé ?) sur certaines monnaies.
C’est ainsi que Gnecchi proposait de classer les médaillons de bronze en deux catégories : les petits modules (des monnaies ?) et les grands modules.
En effet, pour la plupart des médaillons de bronze, la confusion avec une monnaie ne serait pas possible car le module serait très supérieur au sesterce. Ces objets sont très volumineux et auraient mal tenu dans une bourse.
Cependant, pour A. Hostein (2008) et S. Estiot, en contradiction avec Mittag, ils auraient pu être utilisés comme monnaie, comme multiples du sesterce. En effet, les masses sont souvent (approximativement) équivalentes à ce qu’aurait pesé un double, triple ou quadruple sesterce.
En outre, à l’époque julio-claudienne et flavienne, les revers portent la marque SC et sont de mêmes types que des monnaies de bronze. Difficile dès lors de le considérer comme extérieur au système monétaire.
Néanmoins, ces objets restent exceptionnels à bien des titres, comme leur qualité artistique, leur type, voire par quelques particularités techniques, comme la présence d’un large bord parfois ouvragé ou même réalisé dans un métal d’une autre couleur.
Difficile d’imaginer que des objets pareils aient circulé. Certains sont peut-être, d’ailleurs, des Abschlag.
Peut-être ne faut-il pas classer ensemble tous ces médaillons de bronze, qui pourraient relever de plusieurs usages différents. L’absence de SC tant qu’existe un monnayage de bronze est un critère pratique, mais on a vu qu’il ne fonctionne pas pour l’époque julio-claudienne.
Mais qu’en est-il quand il n’existe plus de grand bronze en circulation ou que ces derniers ne sont que des nummi argentés ? Quelle aurait pu être la valeur d’un médaillon de bronze sous Florien, Dioclétien ou Constantin ?
Médaillon et propagande impériale
Alors il a donc été émis des objets hors norme par les ateliers monétaires. Mais à quelles occasions et à quelles fins ?
Leur iconographie, souvent elle aussi exceptionnelle, est au service de la propagande impériale.
D’abord, ces médaillons proposent souvent des avers aux nombreux attributs soulignant le pouvoir de l’empereur.
Ces médaillons / multiples montrent à l’avers les empereurs en bustes militaires sophistiqués, avec haste, bouclier, victoriola, ou en bustes consulaires, avec toga picta ou scipio.
En outre, en particulier au IIIè siècle, les médaillons vantent les actions de l’empereur (adlocutio, adventus, profectio pour ses déplacements et campagnes… liberalitas pour ses largesse) et surtout moneta (avec les tres monetae), très répandue en ces temps troubles : il s’agit de montrer le pouvoir régalien de l’empereur, en une auto-justification performative..
On montre aussi sa pietas, ce qui est fondamental dans la pensée romaine, par les nombreuses scènes de sacrifice.
Ces médailles ont pu être, semble-t-il, distribuées à l’entourage impérial, à l’occasion de la nouvelle année.
Il semble qu’en retour d’autres ont pu être réalisées à destination de l’empereur, lui souhaitant une bonne année.
Le Sénat et le Peuple Romain semblent donc aussi prendre l’initiative de faire frapper pour l’empereur.
S(enatus) P(opulus)Q(ue) R(omanus) A(nnum) N(ovum) F(austum) F(elicem) OPTIMO PRINCIPI PIO se traduit par « Le Sénat et le Peuple Romain souhaitent une année nouvelle prospère et heureuse à Antonin le Pieux le Meilleur des Princes ».
Mais tout cela semble un jeu de dupes : on imagine mal l’atelier frapper en secret pour faire une surprise à l’empereur.
Médaillon et élites
L’iconographie des revers se démarque cependant nettement des monnaies ordinaires par lesquelles le pouvoir s’adresse au peuple. Le message véhiculé n’est pas le même, car ici l’empereur s’adresse aux élites, ciblées par ces distributions exceptionnelles.
En effet, on y trouve de nombreuses références intellectuelles accessibles aux seules élites cultivées. En particulier de nombreuses représentations de grands mythes romains, de la mythistoria, et des récits de fondation.
Auguste, dans la série des « bronzes au Numa », parmi les premiers médaillons pour Mittag, fait référence au deuxième roi de Rome.
Sous les Antonins, de nombreuses références aux mythes d’Énée montrent l’attention particulière de cette époque aux origines légendaires de Rome.
D’autres épisodes de l’histoire ancienne de Rome, sous la République, ont aussi les honneurs des médaillons sous Antonin, comme Horatius Coclès brisant le Pont Sublicius pour arrêter les Étrusques, ou l’arrivée du culte d’Asclépios à Rome, toujours lié au Tibre.
D’autres épisodes encore, issus de la mythologie grecque, sont rares et tirés de sources que le grand public ne connaissait pas forcément, comme Cérès et Triptolème, Argos et Athéna, le combat de Thésée et des centaures, la dispute d’Athéna et Poséidon pour le patronage d’Athènes…
Les références à la Grèce sont aussi parfois historiques, comme pour l’épisode des frères argiens Cléobis et Biton, ou artistiques, avec des scènes sacro-idylliques ou des vues raffinées dans un style hellénistique, auquel les élites étaient particulièrement sensibles, tombant en privé le masque d’un anti-hellénisme de façade en public.
Toute cette iconographie montre que le public destinataire de ces objets n’était pas le grand public, surtout pour les médaillons de bronze de l’époque antonine.
Mais comme l’a montré A. Hostein (2017), de tels médaillons ont circulé et ont pu se retrouver dans des tombes en Gaule, loin du pouvoir, et manifestement d’après le contexte archéologique, quelques générations après leur frappe.
Comme quoi de tels objets finissaient par atteindre des populations qui n’étaient pas la cible originelle.
Du médaillon antique à la médaille
Ces objets commémoratifs auraient été distribués comme distinction, conservés pour leur prestige et leur qualité artistique, à l’instar de nos contemporaines « médailles de table ».
Certaines ont même peut-être pu être portées « en sautoir » comme nos médailles sportives, car sur un certain nombre d’entre elles on peut remarquer une bélière voire une monture.
Mais il semble que ces médaillons aillent plus loin que les bien connus montages de monnaie d’or dans des bijoux (bracelets, pendentifs…) connus par ailleurs (trésors de Beaurains, de Rennes, de Naix…) car ils auraient été portés seuls (bélière simple, trouvés seuls, et avec un poids trop important pour être associés à d’autres) et donc arborés pour eux-même.
Quoi qu’il en soit, ces monnaies ou médaillons montés en pendentif offrent toujours l’avers comme face principale.L’intention était de montrer la figure impériale. Et pour des médaillons de plusieurs dizaines de grammes, elle était magnifiée.
On peut même se demander si l’intention n’était pas de proclamer sa proximité avec le pouvoir. Arborer de tels médaillons comme les récompenses honorifiques qu’elles étaient.
On est vraiment proches de nos médailles contemporaines. On comprend mieux dès l’or que la médaille moderne et contemporaine relève du champ de la numismatique.
Pour conclure
Les médaillons recouvrent une grande diversité d’objets et les usages ne furent sans doute pas les mêmes durant quatre siècles.
On a pu passer de multiples de bronze au permier siècle à des médaillons à l’iconographie sophistiquée à destination des élites au deuxième.
Puis à une auto-légitimation performative des médaillons de bronze au IIIè siècle et à l’émission de gratifications exceptionnelles en métal précieux pour les soldats de haut rang avec un message militaire.
Et enfin quasiment des lingots frappés pour le IVè siècle, sacralisant encore davantage la figure impériale de plus en plus hiératique et peut-être faits pour être portés en sautoir.
Finalement, ils ont disparu, car l’empereur n’avait plus à légitimer son pouvoir par l’histoire, par l’exercice d’un pouvoir régalien, par une complicité avec les élites, le sénat ou l’armée car devenu sacré, c’est Dieu qui le légitimait.
Ces médaillons auront donc accompagné l’Empire à l’époque où le monde romain se construisait sur un équilibre entre l’empereur, les élites et le peuple.
Mais si ensuite le pouvoir impérial n’émet plus de médaillon, ce genre d’objet ne disparut pas pour autant. C’est vers la fin du IVè et le début du Vè qu’on situe généralement les médaillons qu’on appelle contorniates.
Les contorniates restent mal connus, mal compris et assez mystérieux, mais sont plus ou moins contemporains les uns des autres et n’émanent pas de l’autorité impériale. C’est pourquoi il faudra leur consacrer un post spécifique prochainement.
Par Maxime Cambreling
Vous aimez nos articles?
Bibliographie
- Bastien P., METZGER C. , Le trésor de Beaurains (dit d’Arras), 1977
- Froehner W., Les Médaillons de l’Empire Romain depuis le règne d’Auguste jusqu’à Priscus Attale, 1878
- Estiot S., « L’Empereur Probus, L’imitation d’Alexandre et la question des médaillons d’or du trésor d’Aboukir » in Revue Numismatique, 2021
- Gnecchi V., I Medaglioni romani, descritti ed illustrati (3 volumes), 1912
- Hostein A. « Médaillons romains d’époque antonine en contexte archéologique en Gaule. Réflexions autour d’un dossier autunois » in Rome et les Provinces. Monnayage et Histoire. Mélanges offerts à Michel Amandry, 2017
- Michaux B., Le Monnayage impérial de Gordien III (238-244 après JC), 2020
- Mittag P.F., Römische Medaillons: Caesar Bis Hadrian, 2010
- Mittag P.F., Römische Medaillons: Antoninus Pius, 2019
- Mittag P.F., « Roman medallions » in Tokens, Value and Identity, 2021
- Toynbee J., Roman medallions, 1944
Origine des images
- Médaillon antonin le pieux & Marc Aurèle (bannière), The New York Sale, Auction 51, Lot 124
- Carus et Carinus, Münzkabinett Wien, id : ID84578
- Médaillon de Dioclétien, classical numismatic group, inc., triton xxvi, lot 830
- Médaillon de Constance II, Münzkabinett Wien, id : ID84518
- Gordien III, fragment de médaillon, collection Michaux
- Auguste, multiple de 4 aurei, Musée archéologique de Naples
- Domitien, multiple de 4 deniers, british museum n° 1873,0303.1
- Médaillon en or venant du trésor de Tarse. Diamètre 67 mm, poids 98,70 g, Cabinet des médailles de la BnF n° inv : F 1672.
- Gordien III, Bronze 12,08 g; 26 mm; 12 h, Wien, Münzkabinett, Kunsthistorisches Museum, RÖ 17629
- Gordien III, As, 8,80 g; 24 mm; 1 h, Wien, Münzkabinett, Kunsthistorisches Museum, RÖ 17645
- Auguste, médaillon en orichalque, Bibliothèque nationale de France, IMP-4027
- Hadrien, sesterce sur flan de médaillon, British museum, n° 1844,1008.23
- Marc Aurèle, médaillon bi-métallique, Fritz Rudolf Künker gmbh & co. kg, auction 288, lot 617
- Constantin, médaillon doré, Classical Numismatic Group, Inc., Triton Vi, Lot 1087
- Gordien III, médaillon (colisée), Dr. Busso Peus Nachfolger, Auction 400, Lot 700
- Bronze d’Antonin le pieux avec SPQR ANFF au revers, Hunterian museum, université de Glasgow
- Maximien Hercule, médaillon, Jean Elsen & Ses Fils S.a., Auction 143, Lot 608
- Maximien Hercule, médaillon, Nomos, Auction 5, Lot 255
- Médaillon d’Antonin le Pieux figurant la découverte de la laie miraculeuse par Énée, bnf
- Médaillon de bronze d’Antonin le Pieux représentant Horatius Coclès, The New York Sale, Auction 25, Lot 185
- Médaillon de Faustine, Numismatica Ars Classica Nac Ag, Auction 29, Lot 553
- Hadrien, Médaillon figurant Silvanus trainant un bélier au revers, British Museum, n° 1872,0709.376
- Médaillon avec monture de constance II, Numismatica Ars Classica Nac Ag, Auction 106, Lot 1073
Hello, merci très bel article.
Outre les médaillons, à mon avis, il faudrait classer dans la même catégorie les quinaires d’or. En effet, ces monnaies sont très peu répertoriées et je pense peut-être à tort que ces monnaies étaient destinées à un certain public….. A suivre!
Christopher Merat
Bonjour à tous.
Qu’en est-il des multiples des assaria classés dans les monnaies provinciales ? Sont-ce des monnaies (dodécassaria, décassaria, …) frappés à Antioche, Pergame, ou ailleurs, ou des médaillons, comme il est souvent signalé dans les ventes ?
Portez-vous bien.
À ajouter à la longue liste des sujets que nous voudrions explorer. Ce qui manque, c’est le temps.
Il faudrait explorer la question. Ou la soumettre à un spécialiste des provinciales. Là, à brûle-pourpoin,je ne saurais dire.